Les tentations du changement

Plusieurs facteurs font que l'enseignant reste dans sont club :
- l'entente avec les dirigeants
- le taux horaire
- la distance du domicile
- le nombre d'heure payés
- la mise en place et rangement du tatami
- le nombre d'élève
- l'ancienneté des élèves
- l'adhésion au club
- l'ancienneté dans le club
- le sentiment du besoin de fidélité (peur du sentiment de trahison)
- les horaires

Expérience :
Dojo de Jolimont depuis 2017 : possibilité de postuler au dojo d'Amouroux (1999-2017) en 2020-2021 en changeant de club
Dojo de Quint-Fonsegrives : possibilité de postuler au dojo d'Aussonne (ville de résidence) en 2017-2018 puis en 2018-2019 en changeant de club

Pas de changement à cause de l'impossibilité de se défaire de l'idée d'être infidèle et le sentiment de trahison des adhérents et des dirigeants des clubs concernés.

Les enseignants de jùdô travaillant souvent à plein temps dans un autre emploi, il est parfois nécessaire pour eux de briguer un poste à plus haute responsabilité et changer leurs horaires pour faire évoluer leur statut. Pour cela, ils doivent candidater à un poste où il est nécessaire de trouver de nouveaux horaires que ne peuvent pas proposer leur club. S'il postule ailleurs ils doivent abandonner leur ancien club ne sachant pas s'il trouveront un nouveau.
Ainsi :
- soit l'enseignant prend le risque de tous perdre
- soit l'enseignant cherche ailleurs et abandonne l'ancien club au dernier moment
- soit l'enseignant cherche ailleurs et abandonne le nouveau club au dernier moment

Dans les trois cas, quelqu'un y perd :
- soit l'enseignant
- soit l'ancien club
- soit le nouveau club