Règles typographiques

"Item changeant"
On abrège :
et cetera
par
etc. (pas de points de suspension ni de répétition) Mesdames
par
Mmes
exemple
par
ex. Mademoiselle
par
Mlle
heure(s)
par
h en bas de casse, même dans un texte en capitales (20 h, 20 h 30) Mesdemoiselles
par
Mlles
degré(s)
par
° Monsieur
par
M.
grade(s)
par
gr Messieurs
par
MM
mètre(s)
par
m, mètre(s) carré(s), par m², mètre(s) cube(s), par m3" numéro, numéros
par
no, nos
minute(s) (temps)
par
mn nota bene
par
NB
seconde(s) (temps)
par
s (bas de casse, invariable)
page
par
p. (ne se répète pas : p. 127 et 128)
kilogramme(s)
par
kg (bas de casse, invariable)
paragraphe
par
par § (ne se répète pas : § 4 et 5)
masculin
par
masc.
pour cent
par
p. 100 ou par %
féminin
par
fém. deuxième
par
2e
Madame
par
Mme
deuxièmes
par
2es
premier
par
1er primo
par
1o
premiers
par
1ers secundo
par
2o
première
par
1re tertio
par
3o
premières
par
1res degré
par
o

Calameo
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https://fr.calameo.com/read/

Noms numéraux multiplicatifs
Les noms numéraux multiplicatifs sont identiques à l'adjectif correspondant : double (2x), triple (3x), quadruple (4x), quintuple (5x), sextuple (6x), septuple (7x), octuple (8x), nonuple (9x), décuple (10x), centuple (100x).

Les pluriels :
Les mots étrangers prenne un "s" au pluriel. Cependant la F.F.J.D.A. continue à ne pas mettre de "s" au mots japonais (soit par choix soit par non consultation de la règle).

Les nombres ordinaux
Le mot “deuxième” est employé lorsque l’énumération continue ou est susceptible de continuer avec les mots “troisième”, “quatrième”...
Le mot “second” est employé uniquement lorsque l’énumération s’arrête en toute logique à deux.

Accentuation des mots ayant pour racine : "règle"
On écrit :
règle, règlement, règlementarisme (accent grave)
Mais on écrivait : réglementaire, réglementairement, réglementation, réglementer (accent aigu).
La « rectifications orthographiques du français en 1990 » préconise de mettre des accents graves à chaque fois.

Les majuscules et les minuscules
On compose avec une capitale initiale :
- les noms des peuples, les habitants des régions ou des agglomérations : les Espagnols, les Alsaciens, les Grenoblois.
Le nom des langues commence par une minuscule : l'espagnol, le français, le russe, l'arabe, etc.

Il convient d'observer qu'en français, l'accent a pleine valeur orthographique. Son absence ralentit la lecture, fait hésiter sur la prononciation, et peut même induire en erreur notamment lors de l'emploi de majuscules.
Deux cas de figure sont à différencier :
- l'écriture en script où les majuscules sont effectivement à accentuer (lorsque l'outil utilisé le permet !)
À Â Ä Ç Œ Ê É È Ë Ï Î Ô Ò Ö Û Ü Ù & ñ € æ · œ Œ

- l'écriture en cursive où les majuscules ne comportent pas d'accent.

Sous Microsoft Word, pour transformer les minuscules en majuscule :
Majuscule F3

Sous Microsoft Word, pour corriger automatiquement le manque d'accent sur les majuscules :
Outils Options Édition

Voici quelques raccourcis clavier intéressants.

La date :
Le nom du mois sans capitale initiale : 28 juillet 2002, et jamais 28 Juillet. On ne met de majuscule au nom du mois que lorsque la date est utilisée comme symbole d'un évènement historique : le 14 Juillet, le 11 Septembre.

Évènement :
Dès la troisième édition de son dictionnaire (1740), l'Académie française indique l'orthographe "évènement". Lors de la septième édition (1878), l'Académie a rectifié l'accentuation de plusieurs mots pour suivre l'évolution phonétique de la langue : ainsi, collége et avènement ont été changés en collège et avènement. Toutefois, quelques mots, dont évènement, n'ont pas été rectifiés, et cette orthographe est toujours utilisée au XXIe siècle.
Le rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques préconise la régularisation de tels mots, et les dictionnaires, dès la fin du XXe siècle, encouragent l'orthographe évènement, quoique l'autre orthographe soit aussi mentionnée ; de même, l'Académie française a adopté la graphie évènement, mais estime que « la graphie ancienne évènement n'est cependant pas considérée comme fautive, encore que rien ne la justifie plus. »

Le verbe s'asseoir :
On dit originellement : "Assieds-toi !" mais "Assois-toi !" est également correcte
En revanche "Assis-toi !" n'est pas correcte

Les verbe faire et dire :
On dit "Faites" votre ceinture et "Refaites" votre ceinture
On dit "Dites" et "Redites"
En revanche on dit "contredisez" et pas "contredites". Seuls "Dire" et "Redire" se conjugue comme "Dire"

L'emplois du subjonctif est réservé à l'introduction de proposition hypothétique ou futur.
"Il faut que je sois" mais "bien que je suis"

La locution verbale faire + verbe à l'infinitif ne s'accorde pas.
On dit elle s'est "fait refaire" le passeport

Faire ou ne pas faire long feu :
"faire long feu" signifie "échouer"
"ne pas faire long feu" signifie "ne pas durer longtemps"

Pallier :
On dit "pallier quelque chose" et pas "pallier à quelque chose"

Les organismes d'État
- l'académie de Toulouse mais l'Académie de médecine
- l'université Pierre Corneille, l'université de Prague
- la préfecture de Haute-Saône
- le Collège de France

Les titres
- le ministre de l'Économie
- M. le professeur Hamburger

Les sigles
Les sigles et acronymes ne comportent ni séparations ni points et s'écrivent entièrement en majuscules : GDF, STCUM, SNCB, USA, HTML
sauf s'ils se prononcent aisément : Onem, Euratom, UNESCO
On met l'accent sur les capitales (si la machine qu'on utilise le permet !)

Les nombres et les dates
Les chiffres arabes sont utilisés pour :
* les quantités (les milliers sont normalement séparés par un quart de cadratin, et la partie décimale est séparée de la partie entière par une virgule et un quart de cadratin) : Cette exposition a été visitée par 100 200 spectateurs.
* les dates (sauf les mois), les heures, les âges : Votre rencontre aura lieu le 2 janvier, à 18h20. Il a 20 ans aujourd'hui.
* les années : 2001 sera une année mémorable.
Pour les jours et les mois en anglais, je n'oublie pas la majuscule, alors qu'elle n'est pas nécessaire en français.

Les chiffres romains sont utilisés pour:
* les divisions principales d'ouvrages (théâtre, chants, chapitres, documents, fascicules, etc.) : L'acte I de la pièce de Molière.
* les millénaires : Le IIIe millénaire.
* les régimes politiques, dynasties, etc : La Ve République.
* les numéros dynastiques : Henry IV.
Les chiffres romains ne prennent pas de bar en haut ou en bas

On écrit en toutes lettres :
* les nombres commençant une phrase : Cent huit pensionnaires partaient en vacances.
* les nombres inférieurs à 10 : Il y a trois ans aujourd'hui, ce document comprend trois parties. Il y a quatre ans et deux mois, avait lieu...
* les nombres employés comme substantifs : Jouer le six de trèfle, entrer en sixième
* les fractions d'heures suivant les mots midi et minuit : midi vingt, minuit dix-sept
* en dessous de cent, les différents éléments qui composent un nombre sont reliés soit par un trait d'union soit par et : vingt-six, vingt et un, deux cent vingt-deux
* certaines expressions : les années soixante, la guerre de Trente ans

· La fête sera cette année les 1, 2 et 3 juin.
· Un colloque sur l'œuvre de Magritte est prévu le lundi 23 mars 1998.
· J'ai programmé l'enregistrement à 20 h 15.

La ponctuation
Les phrases se terminent par un point final, un point d'exclamation, un point d'interrogation ou des points de suspension.
La virgule sépare les parties d'une proposition ou d'une phrase à condition qu'elles ne soient pas déjà réunies par les conjonctions et, ou, ni. Elle sépare les énumérations. Elle isole les mots mis en apostrophe. On ne met pas de virgule avant une parenthèse, un tiret ou un crochet.
Le point virgule sépare différentes propositions de même nature.
Le deux-points introduit une explication, une citation, un discours, une énumération.
Les points de suspension sont toujours au nombre de trois.
Les guillemets "informatiques" sont si simplifiés qu'il est impossible de respecter les règles typographiques françaises traditionnelles. Le point final se met avant ou après le guillemet fermant suivant le contexte, il n'est pas doublé.
Les parenthèses intercalent une précision dans la phrase.
Les crochets indiquent une précision à l'intérieur d'une parenthèse ou une coupure dans une citation.
Employé seul, le tiret signale chaque terme d'une énumération ou le changement d'interlocuteur dans un dialogue. Employés par paires, ils s'utilisent comme les parenthèses. En fin de phrase, le second tiret est supprimé avant le point final.

Les énumérations
- elles sont introduites par un deux-points :
- les énumérations de premier rang sont introduites par un tiret et se terminent par un point-virgule, sauf la dernière par un point final - ; .
- les énumérations de second rang sont introduites par un tiret décalé et se terminent par une virgule - ,

Les titres et les intertitres
Quand le découpage des lignes permet d'en comprendre le sens, on ne met pas de point, de virgule ou de point virgule.

Les espaces en usage avant et après les signes de ponctuation
- Point et virgule sont suivis d'un blanc.
- Point d'interrogation, point d'exclamation, point-virgule et deux-points sont suivis d'un blanc et précédés d'une espace.
- Les guillemets ouvrants ou fermants sont, respectivement, précédés et suivis d'un blanc.
- Les parenthèses ou crochets ouvrants sont précédés d'un blanc.
- Les parenthèses ou crochets fermants sont suivis d'un blanc.
- Les apostrophes et traits d'union ne sont ni précédés ni suivis de blanc.
- Le tiret est précédé et suivi d'un blanc.
- Les points de suspension sont suivis d'un blanc.

Nom numéral
En français, à côté des adjectifs numéraux cardinaux et ordinaux utilisés pour la dénomination littérale des nombres, il existe des noms numéraux qui permettent de dénombrer ou d'ordonner différents types d'éléments.

Trois catégories de noms numéraux abstraits, des collectifs, des partitifs (ou fractionnaires) et des multiplicatifs, peuvent être distinguées1. Une quatrième catégorie, concrète elle, rassemble les noms numéraux spécifiques à un ensemble particulier d'éléments. Les multiples et les sous multiples des unités de mesure constituent aussi des noms numéraux.

Noms numéraux collectifs
Les noms se terminant par le suffixe -aine sont utilisés pour désigner un nombre exact ou approximatif d'éléments semblables. Avec l'usage, certaines formes sont tombées en désuétude, tandis que d'autres ne sont plus utilisées que dans un contexte particulier.

- deuzaine (inusité en français courant), mais parfois utilisé dans le système de numération binaire positionelle pour désigner le deuxième chiffre à partir de la droite ;
- quatraine (désuet), ensemble de (ou environ) 4 éléments semblables ; notamment une file de quatre soldats, mais aussi, dans le système binaire, troisième chiffre à partir de la droite ;
- cinquaine (inusité en français courant), désigne une cordelette comprenant cinq fils torsadés ;
- sixaine (désuet) est égale à une demi-douzaine, soit un ensemble de (ou environ) 6 éléments semblables, notamment un paquet de six jeux de cartes ; mais une sizaine (avec un Z) désigne un groupe d'environ 6 enfants de 8 à 12 ans chez les scouts, notamment en Belgique et en France ;
- septaine (désuet), un ensemble de (ou environ) 7 éléments semblables12, notamment une période de 7 jours ;
- huitaine, ensemble de (ou environ) 8 éléments semblables, souvent utilisé pour une semaine ; dans le système binaire, quatrième chiffre à partir de la droite ;
- neuvaine, dans l'Église catholique romaine, dévotion privée ou publique de neuf jours ; utilisé rarement pour désigner les neuf Muses;
- dizaine, ensemble de (ou environ) 10 éléments semblables ; désigne notamment une dizaine de jours, d'années ou de grains de chapelet15 ; dans le système décimal, le chiffre des dizaines est le deuxième chiffre à partir de la droite dans un nombre entier ;
- onzaine (désuet), ensemble de (ou environ) 11 éléments semblables, notamment un chandelier à onze branches ; au Moyen-âge un chargement de sel transporté par eau.
- douzaine, ensemble de (ou environ) 12 éléments semblables ; unité de mesure du système duodécimal, dont la moitié est une demi-douzaine, soit six éléments ; douze douzaines (144) équivalent à une petite grosse et douze fois douze douzaines (1 728 à une grande grosse ;
- treizaine (désuet), ensemble de (ou environ) 13 éléments semblables ; groupe de 13 jours du calendrier aztèque rituel ;
- quatorzaine (vieilli), ensemble de (ou environ) 14 éléments semblables, utilisé notamment pour deux semaines exactement ;
- quinzaine, ensemble de (ou environ) 15 éléments semblables, souvent utilisé pour environ deux semaines ;
- seizaine (désuet), ensemble de (ou environ) 16 éléments semblables, notamment seize jours ou un paquet de seize cerceaux ; petite corde dont les emballeurs font usage ; dans le système binaire, cinquième chiffre à partir de la droite

Au-delà

- vingtaine, ensemble de (ou environ) 20 éléments semblables, mais aussi vingtaine, subdivision politique de Jersey et mois de vingt jours du calendrier solaire aztèque ;
- trentaine, ensemble de (ou environ) 30 éléments semblables ;
- quarantaine, ensemble de (ou environ) 40 éléments semblables, mais aussi quarantaine, mise à l'écart pour une certaine période (de quarante jours à l’origine) pour des raisons prophylactiques ;
- cinquantaine, ensemble de (ou environ) 50 éléments semblables ;
- soixantaine, ensemble de (ou environ) 60 éléments semblables ;
- septantaine ou soixante-dizaine, octantaine ou quatre-vingtaine, nonantaine ou quatre-vingt-dizaine, ensembles de 70, 80, 90 (ou environ) éléments semblables (plus rarement utilisés);
- centaine, ensemble de (ou environ) 100 éléments semblables, mais aussi, subdivision territoriale mérovingienne et division administrative des comtés au Royaume-Uni.

Une exception au suffixe -aine :

- millier, ensemble de (ou environ) 1000 éléments semblables.

Les termes monade (1), triade (3), tétrade (4) et myriade (10 000) sont aussi des noms numéraux collectifs.

Noms numéraux partitifs

Les noms numéraux partitifs ou fractionnaires expriment des fractions : un demi ou une moitié (½, une des deux parties égales d'un tout), un tiers (?), un quart (¼). À partir de la division en cinq parties, les noms numéraux partitifs portent le même nom que l'adjectif numéral ordinal correspondant : cinquième, sixième, septième…

Noms numéraux multiplicatifs

Les noms numéraux multiplicatifs sont identiques à l'adjectif correspondant : double (2x), triple (3x), quadruple (4x), quintuple (5x), sextuple (6x), septuple (7x), octuple (8x), nonuple (9x), décuple (10x), undecuple (x11), duodecuple (x12), trédecuple / tridécuple (x13), quatuorcuple / tetradécuple (x14), quinquedecuple / pentadécuple (x15), sexdecuple / hexadécuple (x16), septendecuple / heptadécuple (x17), octodecuple / octadécuple (x18), novemdecuple / nonadécuple (x19), vingtuple / vintuple / icosuple (x20), trentuple (x30), quarantuple (x40), cinquantuple (x50), soixantuple (x60), septantuple (x70), huitantuple / huictantuple (x80), nonantuple (x90), centuple (100x)

Différences entre vacances et congés :
Aujourd'hui on a tendance à attribuer les vacances aux voyages et les congés comme des jours non-travaillés alors que étymologiquement c'est le contraire car vacances c'est la période où l'on peut vaquer à ses occupations alors que congés c'est la période où l'on peut prendre conger des autres.

Qu’est-ce qu’un tic de langage ?

Un tic de langage une expression machinale que l’on contracte souvent sans s’en apercevoir. « Euh… » est probablement l’exemple le plus classique : cette petite expression peuple nos discours sans que l’on s’en rende vraiment compte. Que permet-elle ? Un temps de respiration, peut-être. Mais elle montre surtout que l’orateur hésite et cherche ses mots !

Un tic de langage peut aussi être un mot « béquille » ou « tuteur » : il sert à combler (inutilement) le discours. C’est le cas du “et voilà”, que l’on entend parfois à la fin d’une démonstration. Le tic de langage peut également répondre à une forme de mode, et donc permet de s’identifier à un groupe social. Une classe d’âge ou une catégorie socio-professionnelle a ainsi des tics de langage qui lui sont propres.

Méfions-nous de ces expressions convenues. Elles sont parfois fausses d’un point de vue grammatical, et elles peuvent ennuyer l’auditoire. Elles peuvent aussi laisser penser que celui ou celle qui parle manque d’assurance. Il semble pertinent de s’en débarrasser autant que possible.

Les tics de langage les plus courants

Pour marquer une conclusion

Voilà

Il s’agit d’un adverbe qui permet d’attirer l’attention sur une chose ou un événement, mais également de marquer la conclusion : et voilà, ça s’est passé comme ça. Sauf que ce petit mot est (trop) souvent utilisé pour conclure un propos ou passer la parole à une autre personne. Employé ainsi en fin de phrase, le mot n’a guère de sens (si ce n’est pour marquer une constatation souvent un peu ironique). Préférez, si possible, une explication ou, si vous souhaitez que quelqu’un rebondisse sur vos propos, optez pour le classique, mais efficace « Qu’en pensez-vous ? »

Voili voilou

Variante du précédent. Cette expression sert également à conclure un propos, de manière gentille ou affectueuse. On l’emploie avec des amis, des proches. Mais, de même que dans le cas précédent, mieux vaut privilégier une explication… ou se passer de ces deux termes qui sont, de surcroît, inexacts en français !

Au final

Il s’agit également d’une expression qui semble être une traduction (bancale) du latin in fine. Elle permet de tirer un enseignement de ce que l’on vient de dire : au final, je pense que ce n’est pas une bonne idée. Préférez l’un des termes suivants : en conclusion, en dernier lieu, au bout du compte...

Point barre

Cela signifierait : il n’y a rien à ajouter. Une manière expéditive de finir son propos. Historiquement, cette barre pourrait venir des messages télégraphiques : elle indiquait alors que le message en question était terminé. Utilisez plutôt : « Je n’ai rien à ajouter. », « Cette discussion est terminée. » ou « Tout a été dit. »

Bref

On utilise ce petit mot – né de l’adjectif latin brevis qui signifie court – pour revenir à l’essentiel ou au propos qui nous intéresse : il a fait la vaisselle, le ménage, la cuisine… bref, il s’est occupé de tout ! La série populaire Bref a grandement popularisé ce terme en même temps qu’une certaine manière de faire des résumés ou des synthèses. Il n’est pas inexact, mais il convient de modérer son utilisation et surtout de l’utiliser de manière adéquate. Il ne doit pas servir, notamment, pour passer d’une discussion à une autre ou pour montrer que le sujet en cours ne vous intéresse pas !

Pour insister

Juste

Ce « juste » a tendance à se glisser partout pour créer une accentuation, une exagération ou une aggravation : ce n’est juste pas possible, c’est juste démentiel… Laissez ce tic de langage au placard, il n’a rien à faire dans vos phrases. Si vraiment vous tenez à insister, dites plutôt : « Ce n’est absolument pas possible, c’est absolument démentiel... »

Grave

Comme « juste », le mot est utilisé pour accentuer son propos : il était grave bien, ce bouquin ! Il sert également à marquer son approbation. « Tu es d’accord ? – Mais grave ! » Bien… reprécisons le sens de ce mot. Cet adjectif, qui nous vient du latin gravis (lourd), signifie : qui est d’une grande importance, ou qui a des conséquences fâcheuses. Il a donné son nom à un film : Grave, de Julia Ducournau, en 2016. Mais dans le langage courant, et plus encore à l’écrit, on s’en passe. On peut dire : ce roman était très bien (et non pas « grave bien… » ou « gavé bien », sa version du sud-ouest !) et dire qu’on est parfaitement d’accord avec autrui (et non « grave d’accord »).

C’est énorme

Rien d’incorrect dans cette expression, mais on a tendance à l’utiliser « à toutes les sauces » pour faire savoir que quelque chose est fabuleux, extraordinaire, hors norme… On prendra soin d’utiliser l’adjectif adéquat : c’est beau, c’est magnifique, etc.

Génial

Encore un mot correct, mais qu’on utilise trop souvent. N’oublions pas que cet adjectif désigne ce qui a du génie, ou ce qui est inspiré par le génie. Mieux vaut privilégier, là encore, l’adjectif adéquat : une personne n’est pas forcément géniale, elle peut être talentueuse, exemplaire, faire un travail remarquable, etc.

À fond

Vous êtes à fond ou « à donf » ? Oui, car l’expression est utilisée aussi en verlan. Eh bien dorénavant, dites plutôt que vous êtes motivé, c’est préférable !

Pour enchaîner son propos

Du coup

Oh ! que l’on voit et entend souvent cette expression ! Elle sert à introduire une conséquence. Malheureusement, elle est très souvent inexacte, comme le rappelle l’Académie française. Il est indispensable de vous exprimer autrement… et cela tombe bien, les expressions ne manquent pas : en conséquence, de ce fait, donc, par conséquent...

Donc

Il s’agit d’une conjonction de coordination (même si les grammairiens sont divisés sur la question) qui établit une conséquence. Ainsi, il n’est pas incorrect d’utiliser ce petit mot, plutôt élégant par ailleurs… mais attention, on a tendance à s’en servir plutôt comme d’une sorte de mot de liaison ou, pire, à le placer en début de phrase pour introduire son propos. Si tel est le cas, utilisez plutôt : « J’entame mon propos… », « Débutons. », etc. Dans tous les autres cas, prenez garde à ce qu’il marque la conséquence.

En fait

Il s’agit d’une locution adverbiale signifiant : réellement, vraiment ou contrairement aux apparences. Trop souvent, on utilise cette expression pour débuter son propos ou en lieu et place de « mais ». Or on devrait utiliser « en fait » uniquement dans les sens mentionnés ci-dessus, comme le rappelle l’Académie française.

Enfin

Ce mot est un adverbe qui signifie : au terme d’une longue attente ou en dernier lieu. Trop souvent, on l’utilise pour ponctuer nos prises de parole : et… enfin, vous voyez ce que je veux dire. Mieux vaut tout simplement s’en passer dans ce cas, car il ne sert alors à rien.

Si vous voulez

Rien de faux là-dedans : nous boirons un café si vous voulez (synonyme de si vous le désirez ou si cela vous convient). Néanmoins, on utilise souvent « si vous voulez » en lieu et place de « si vous me permettez de dire cela ». Préférez dans ce cas : « Passez-moi l’expression. » La formule peut aussi laisser entendre qu’on ne maîtrise pas ce que l’on raconte et qu’on laisse l’autre décider de ce qu’il faut comprendre. Dans ce cas, mieux vaut s’en passer.

Pour marquer son approbation

C’est clair

L’expression signifie que les explications sont limpides, qu’il n’y a pas besoin d’en dire davantage pour comprendre… et pourtant, elle est utilisée à mauvais escient, pour signifier que l’on est d’accord avec son interlocuteur. Ce joueur a vraiment été mauvais ! C’est clair ! On devrait dire dans ce cas que l’on est d’accord, que cela ne peut faire l’objet d’aucune contestation.

Carrément

Dans la même veine que le cas précédent, on trouve ce « carrément », adverbe qui signifie : de façon nette, sans détour. Mais il est (trop) utilisé en lieu et place de « tout à fait ». « Je l’ai trouvé bon dans le rôle du méchant. – Tout à fait ! »

Ça marche / On fait comme ça

On utilise beaucoup ces expressions pour marquer son adhésion. Privilégiez : « C’est entendu. », « Je suis d’accord. » ou « Je m’en occupe...»

Pas de souci

Bien entendu, on peut dire et redire qu’il n’y a pas de souci (qu’on prendra soin de laisser au singulier). Mais veillons à ne pas en abuser.

Pour marquer son admiration ou sa surprise

Mais non !

Mais si, cette expression est correcte. Elle est utilisée pour marquer un étonnement profond : mais non, il n’a pas fait ça ? Vous pouvez très probablement faire mieux que ça ! Par exemple, utilisez : « Soyons sérieux ! », « Ce n’est pas possible… », etc.

Trop bien

Vous pouvez certainement trouver mieux que cette expression pour signifier votre admiration.

C’est hallucinant

Quoique familière, cette expression est correcte. Elle est évidemment métaphorique. Cependant, il est vivement conseillé d’en utiliser d’autres, selon les circonstances : c’est effarant, c’est exaltant, c’est fabuleux, c’est extraordinaire...

Je suis choqué

On l’entend parfois. L’expression semble plutôt signifier pour celui ou celle qui l’emploie qu’il ou elle est particulièrement surpris ou surprise. Rappelons toutefois qu’une personne choquée, au sens littéral, a subi un traumatisme, une commotion… Il est donc très exagéré – et peu recommandé – d’affirmer à tort et à travers qu’on est choqué. Vous pouvez être surpris, étonné, etc.

Pour argumenter ou convaincre

Vas-y

Le verbe « aller » à l’impératif semble suggérer de se rendre quelque part, mais cette expression est plutôt utilisée pour insister lorsque l’on tente de convaincre quelqu’un : « Vas-y, viens avec moi ! » Il est dès lors préférable d’en utiliser d’autres : « J’insiste, je te le redis...»

En vrai

Craint-on tant de mentir que l’on se croit obligé de multiplier ces « en vrai » dans nos phrases ? Le fait est que ce n’est souvent pas utile, même si, ce faisant, on pense sans doute très sincèrement convaincre plus facilement son interlocuteur.

Je vais être clair

Pourquoi marteler le fait que l’on va être clair ? Ne l’est-on pas d’habitude ? Rien que pour cette raison, ce tic de langage est à éviter, de même que « Je vais être honnête ». À la limite, préférez : « Parlons sans détour… » si vous souhaitez asséner une vérité de manière un peu brutale.

J’ai envie de dire

On a envie de le dire ? Mieux vaut peut-être le dire, tout simplement… et ne pas utiliser ce genre de formule.

Je dis ça, je dis rien

Certes, mais vous l’avez dit quand même. Mieux vaut donc se passer de cette expression, ou lui préférer : « Je n’ai pas peur de le dire » ou une expression similaire.

Quelque part

« Quelque part, il n’a pas tort… » Combien de fois a-t-on entendu cela ? Il faut préférer les expressions adéquates : d’une certaine manière, concernant tel ou tel aspect du problème, etc. « Quelque part » désigne un lieu.

Vous voyez ce que je veux dire

L’expression n’est pas fausse (quoique figurative, car, la plupart du temps, votre interlocuteur ne voit pas, justement). Elle induit un certain flou, car, précisément, on a peut-être manqué de précision au préalable, puisque l’on a besoin de faire appel à l’imagination de la personne qui écoute. Mieux vaut sans doute être plus efficace dans une explication que de s’en remettre à ce « Vous voyez de ce que je veux dire ».

Entre guillemets

L’expression indique qu’on ne prend pas à son compte une affirmation, ou que l’on souligne l’ironie de son propos. Elle n’est pas fausse, mais doit être employée avec prudence et à bon escient.

Un petit peu

« À présent, je vais laisser la parole à ma collègue qui va un petit peu nous parler de son bilan. » Ici, « un petit peu » est un mot d’excuse qui sous-entend : « Ne vous inquiétez pas, ce ne sera pas long. » Les propos sont minimisés, et ce, avant même que ladite collègue n’ait eu le temps d’ouvrir la bouche ! Laissez donc cette expression au placard.

Pour montrer que l’on parle de manière franche

On ne va pas se mentir

L’expression est utilisée pour signifier que l’on va parler sans détour. Mieux vaut toutefois ne pas le faire savoir de cette manière : on semble dire que, le reste du temps, on peut mentir, ce qui n’est évidemment pas très courtois.

J’avoue

L’expression ainsi utilisée signifie « Je suis bien d’accord. » ou « Je le reconnais.» Elle sert à se ranger du côté de celui ou celle qui parle. Il va sans dire qu’il faut éviter à tout prix ce « J’avoue… » ! Marquez plus clairement votre accord ou votre désaccord, les mots pour cela ne manquent pas.

Bien sûr

Bien sûr, on peut utiliser « bien sûr ». Mais pas à l’excès.

Complètement

Le mot remplace trop souvent « absolument » ou « assurément ». Sauf pour dire que tel ou tel contenant est « complètement » rempli, bannissez-le !

En vérité

Un peu « christique », cette expression, pas vrai ? « En vérité, je vous le dis… » Prenez garde à ne pas trop l’utiliser, au risque de faire passer les précédentes prises de parole pour des mensonges.

Pour expliquer

Tu vois

Variante de « Vous voyez ce que je veux dire ». Vous pouvez très facilement l’éviter.

Au jour d’aujourd’hui

Oh le beau pléonasme ! Dites « aujourd’hui », tout simplement, « de nos jours », ou « actuellement ». Mais certainement pas « au jour d’aujourd’hui ».

De base, à la base

Une expression fourre-tout qui peut signifier : au départ, au début, au commencement, d’abord, en premier lieu… Préférez l’un de ces termes, selon le cas.

C’est pas faux

Une réplique devenue presque mythique grâce à la série Kaamelott d’Alexandre Astier ! Perceval, l’un des chevaliers de la Table ronde, utilise fréquemment l’expression quand il ne comprend pas ce qu’on lui dit, ce qui lui permet, pense-t-il, d’éviter de faire remarquer son incompréhension. Très souvent, on utilise cette concession pour mieux asséner un argument contraire. Préférez dans ce cas : « Certes, mais… » ou « Je vous le concède, cependant...»

En mode

Comme, à la manière de… Voilà ce que signifie ce « en mode », que l’on évitera donc soigneusement.

https://www.projet-voltaire.fr/dossier-voltaire/tics-de-langage/

Les mots de liaison :

Connecteurs classés
par catégories
Connecteurs
Argumentation : D'une part.... D'autre part,
Énumération D'abord
Tout d'abord
En premier lieu
premièrement
Classification En deuxième lieu
Deuxièmêment
Après
Ensuite
De plus,
Quant à

En troisième lieu
Puis
En dernier lieu
Pour conclure
Enfin,

Opposition mais
Restriction cependant
toutefois
Concession néanmoins
pourtant
  en revanche
par contre

d’ailleurs, aussi bien
du moins
du reste

sinon,
seulement
au contraire,
au lieu de
loin de,

malgré
en dépit de

quoique

tandis que
alors que
aussi … que,
quelque … que
quel /quelle/ que soit
quels/quelles que soient...

quoi que
qui que

encore que

même si +(indicatif)

bien que + (subjonctif)
en admettant que +(subjonctif)
malgré que +(subjonctif)

certes
évidemment
bien sûr
il est vrai que

Situation
dans l'espace
autour,
ailleurs,
au coin de,
Lieu au milieu de
au centre de
au bout de

au-dessus ( <-- sur)
au-dessous ( <-- sous)

ici,
devant ,
derrière,
en dehors,
en face de,
entre a et b,

en haut de
en bas de
là-bas,
loin de,
près de,
partout,
quelque part,

Illustration en effet
ainsi
par exemple
comme, par exemple...
en d'autres termes
comme
Comparaison ou
ou plutôt
c'est-à-dire
ou plus exactement
soit...
de même que
autant dire que
ce qui revient à dire que...
Conséquence donc,
ainsi
de là ... (que),
alors
par conséquent,
c’est pourquoi,
de sorte que, / de telle sorte que
de façon que
si bien que,
au point que / à tel point que,

si +adj/adv.… que,
tellement +adv/ajd… que,

tant de +nom que
tellement de +nom que

assez adj… pour que
Trop adj… pour que,
suffisamment +adj… pour que
de manière à (+ infinitif),
de façon à (+ infinitif)
au point de (+t infinitif),
jusqu’à (et infinitif)
assez + adj. pour (+ infinitif),
trop pour (+ infinitif)
trop peu pour (+ infinitif)

Cause

parce que,
puisque
attendu que,
comme (tète de phrase)
pour la simple raison que...
du moment que...
d’autant que

c’est que / c’est parce que
car,
en effet
à cause de
par suite de
grâce à, faute de
à la faveur de,
eu égard à
en raison de
à force de
sous prétexte de / sous prétexte que,
à (suivi d’un infinitif)
ce qui cause… c’est,
une des causes de…, c’est…
Le motif essentiel de… c’est…

faute de ... (moyens)
étant donné que,
Ayant vu/su/appris/
d'autant plus/moins +adj. que...
ce n'est pas que + subj.
non pas que + subj. ... c'est que

Temps Au début

À la fin

Plus tard

Durée Depuis
Depuis que
Antériorité À l'heure actuelle
Actuellement
Posteriorité /
Posteriorité immédiate
En ce moment
De nos jours
Maintenant
Aujourd'hui
Simultanéité (gérondif) Autrefois
Avant + nom

Succession

Avant de + inf
Avant que + subjonctif

Il y a X heures, jours, semaines, mois, ans...

  Quand
Lorsque
  En même temps que
Alors que

Pendant + nom
Pendant que + v ind.

Au moment où

  Après que
Aprés avoir + pp.A

aussitôt (après) que

  jusqu'à
/ jusqu'à ce que + subjonctif
  Gérondifs : en attendant, en sortant, en voyageant, en faisant...
Référence Bref
En résumé
En un mot
Condition Si ...,

à condition que + subjonctif
à moins que + subjonctif
en admettant que + subjonctif
pour peu que + subjonctif
pourvu que + subjonctif
à supposer que + subjonctif

en supposant que + subjonctif
Soit que … soit que,
au cas où + conditionnel simple
Dans le cas où + conditionnel simple
dans l’hypothèse où
sauf si
faute de quoi

Addition et
de plus
en outre
non seulement ... mais encore...
Restriction sauf
excepté
mis à part
hormis
ne ... que
But . Intention. Finalité pour +infinitif
en vue de + infinitif.

pour que + subj.
afin que + subj.

de façon à ce que + subjonctif

Les pluriels :
Les mots étrangers :
Le Journal Officiel de la République Française du 6 décembre 1990 indique que les noms étrangers prennent la marque du pluriel selon la règle générale :
un match ---> des matchs

L'euro :
En vertu des conclusions du Conseil européen de Madrid de décembre 1995, la monnaie unique porte le nom "euro". L'euro est divisé en cent subdivisions appelées "cent".
Les billets en Euro sont fabriqués sous la responsabilité de la Banque Centrale Européenne et nous pouvons voir sur ces billets le signe"euro" au singulier. Cette écriture a été décidée afin d’éviter de ne pas prendre en compte les particularités orthographiques et grammaticales de chacun des pays, ce qui compliquerait l'impression de ces billets.
Pourtant, en français, la devise euro doit posséder un "S" lorsqu’elle est au pluriel. Le nom euro commence par une minuscule
L'euro a comme symbole €. Ce symbole s'écrit sans point abréviatif ni "S" au pluriel.

Les noms masculins terminés par une voyelle -a ou -o ne change au féminin. Ainsi un jùdôka devient une judoka au féminin. On notera cependant que le féminin alternatif judokate, analogique d'avocate ou magistrate, progresse rapidement.

L'hypercorrection :
L'hypercorrection consiste à ajuster son discours à la norme de prestige (autorité morale d’une personne).
L'hypercorrection, révèle, dans une société donnée, l'estime ou la valeur qu'attribuent ses locuteurs à certaines règles de langage.

Ainsi, l'étude de l'hypercorrection permet de comprendre que dans un groupe, un élément qui s'exprime à l'oral réalise forcément des choix linguistiques qui révèlent sa posture par rapport au groupe :

Dans le domaine de la langue comme dans d'autres domaines, le rapport à la norme varie d'une situation à l'autre, d'un groupe social à l'autre à l'intérieur de la même société. Dans certaines situations les marges de liberté que les individus s'octroient par rapport à la norme témoignent d'une hypocorrection ou à l'inverse d'une hypercorrection qui sont, l'une comme l'autre, l'occasion de marquer leurs différences.
Mais l'hypercorrection d'un locuteur donné révèle aussi la valeur attribuée au respect des règles dans un contexte d'énonciation précis.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Hypercorrection

Afin de m'alimenter (nourrir) et de m'hydrater (boire), j'ai besoins d'une voiture pour me véhiculer (déplacer). Distiller (répendre) une tel langage permet de drainer (attirer) l'attention sur un discours identifier (reconnu) par certains comme précieux. Pour finaliser (finir) ce texte et entériner (valider) le reliquat (le reste) de mot qu'il reste à affiner (déterminer), j'ai choisi d'utiliser ces quelques mots : dynamiser (utiliser) une tel façon de parler à pour but de pérenniser (asseoir) une certaine prestance.

Langage normal
Hypercorrection
Diffuser
Distiller
domaine de la chimie
Continuer
Pérenniser
domaine juridique
Diriger
Dynamiser
domaine de la systémie
Finir
Finaliser
domaine de l'organisation de projet
Restant
Reliquat
domaine de la comptabilité
domaine de l'agriculture
Approuver, valider
Entériner
domaine juridique
Déplacer
Véhiculer
domaine de l'automobile
Manger
Alimenter
domaine de la nutrition
domaine de l' électricité
domaine de la chimie
domaine de la botanique
Boire
S'hydrater
domaine de la chimie
domaine de la physiologie
Améliorer, préciser
Affiner
domaine de l'agroalimentaire
domaine de la métallurgie
domaine de la chimie
validé, homologué
identifier
domaine de la psychologie
domaine des ressources humaines
domaine de la philosophie
domaine de l'ésotérisme
domaine de l'automatique
domaine du droit
domaine de l'informatique
domaine de la biologie
domaine de la gestion
domaine des mathématiques
Attirer
Drainer
domaine de la santé
domaine médical, chirurgie
domaine agricole
domaine environnemental
domaine de la construction

Si ce vocabulaire peut appuyer le prestige d'un enseignant chez les adolescents et certains adultes, il n'en va pas de même avec les enfants. L'enseignant doit adapter son langage à son public afin de se faire comprendre. Il doit partir des représentations personnelles de ces interlocuteurs qu'il doit faire l'effort de connaitre. Certains adultes peuvent également trouver ce vocabulire pédant et ridicule. Parler normalement avec tout le monde reste la meilleure attitude.

Des mots inappropriés :

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