Il existe trois progressions françaises historique de jùdô
:
- celle de 1956 conçue
par Kawaishi créée
essentiellement pour les adultes
- celle de 1967 créée
essentiellement pour les adolescents
et les adultes
- celle de 1989 créée
essentiellement pour les enfants
En fait, ces trois progressions sont adaptés à la majorité
du public de l'époque où elles ont été créées.
L'étude par le jeune enseignant
de ces différentes progressions et la mise en pratique de la progression
française de judo de 1989 est nécessaire dans un premier temps
afin de permettre l'élaboration de sa propre progression
personnelle.
Progressions plus récentes moins connues :
Progression Française de Jùdô
de 2012
Troisième progression française créé par les français.
Les auteurs vont au-delà de la précédentes en mettant au
cœur de la pédagogie la connaissance les principes de base. Seul
problème, la mise en œuvre de concepte un peu flou qui rend l'enseignement
très hétérogène d'un enseignant à l'autre.
Progression
Française de 2019 + Kodomo
no Kata de 2020
Quatrième progression française créé par les français.
Les auteurs retournent à un contenu plus concrêt et s'appui sur
la vidéographie ainsi que sur un kata
créer pour l'enfant. Une particularité est la pise en compte de
la catégorie Éveil-jùdô
et à la mise en place d'un contenu technique qui lui est associé
s'ajoutant aux simples concepts de préhension, locomotion et équilibration.
La progression de 2019 n'a pas été appliquée dans les faits
faute d'une campagne de communication publicutaire suffisante à cause
des confinemnts dûs à la Coid-19. Les liserets sont toujours attribués
aux maternelles et les ceintures verte et bleues et bleue-s ne sont toujours
pas attribuées.
Le programme technique pour l'obtention de sa prochaine ceinture ne dépend pas d'un programme officiel dans un livre mais des choix éducatifs de l'enseignant.
Progesser dépend de tros critères :
- la direction (le professeur, les vidographies, les lectures)
- la vitesse (caractère innés)
- la durée (la pratique)
"Ta direction est plus importante que ta vitesse ; beaucoup vont très vite mais nulle part."
Certains élèves progressent plus vite au départ puis stagne alors que d'autre ont beaucoup de mal au début puis progressent plus vite plus tard. Dans les deux cas, en cas de vitesse très élevé ou très lente, l'élève peut se décourager en cas d'échecs.