Uke-Waza :
les techniques de réception dite de défense basées
sur le jùdô |
Kaeshi
Waza part 1
Kaeshi
Waza part 2
Uke : Ce mot signifie réceptionner.
Uke est celui qui receptionne l'action (ou l'action décisive dans un
enchaînement de techniques).
Il incarne le principe de Jita
kyoei (entraide et prospérité mutuelle). Il doit
avoir confiance en Tori et coopérer.
Les Uke-Wazas sont l'ensemble des techniques de réception dite de défense.
Uke doit être à l'écoute, disponible, réceptif aux actions de Tori, ne pas se désintégrer sur place, ne pas bloquer ou refuser de se laisser faire.
Une défense est une séquence tactique qui annihile une attaque de l'adversaire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Parade_(technique_de_combat)
Les blocages
:
Pour qu'un blocage soit efficace,
il faut sortir de l'axe de l'attaque. Le blocage
permet d'absorber la puissance de l'atemi pour enchaîner. Si le blocage
se fait à deux mains il faut ajouter morote. Exemple : morote-teisho-uke.
Age-uke
est idéal pour bloquer les atemi qui viennent du haut.
Uchi-uke
est idéal si l'on veut se retrouver face à uke ou dans le dos
de uke.
Soto-uke
est idéal si l'on veut se retrouver face à uke ou dans le dos
de uke.
Gedan-baraï
est idéal pour bloquer les atemi des jambes.
Teisho-uke
est idéal pour saisir et projeter rapidement avec un maximum d'efficacité.
Shuto-uke
est idéal pour saisir ou frapper avec la même main.
Gedan-juji-uke
est idéal pour parer une attaque venant du bas vers le haut ou une
attaque basse au couteau.
Jodan-juji-uke
est idéal pour parer une attaque venant du haut vers le bas ou une
attaque haute au couteau.
Gedan
Barai : Blocage bas avec l'avant-bras, de l'intérieur vers l'extérieur.
Judan Age Uke : Blocage haut avec
l'avant bras en remontant.
Juji Uke : Blocage en croix
avec les deux bras.
Soto Uke : Blocage
avec l'avant-bras de l'extérieur vers l'intérieur.
Toutes les techniques de jùdô peuvent s'effectuer à droite ou à gauche.
Il existe quatre principes fondamentaux pour
ne pas se faire mal lors des réceptions de chute :
- la tête est la partie la plus importante à protéger
: il ne faut pas que la tête touche le sol
- plus on tombe de bas et moins on se fait mal : il faut se baisser en pliant
les jambes
- rouler fait moins mal que chuter : il faut arrondir le corps le plus possible,
sans saillie osseuse
- plus le tatamis vibre à l'arrivée du corps (amorti) et moins
le corps souffre : il faut frapper violemment et sèchement le sol à
l'impact
La technique des Ukémis résume en soi
toute la valeur éducative du jùdô
par opposition au vieux Ju-Jitsu, où l'on ne se préoccupait
pas des risques de blessures.
Considérant que, en tombant de tout son poids (auquel peut s'additionner
le poids de l'adversaire, s'il suit en Makikomi par exemple), le corps fait
en s'écrasant au sol l'effet d'un projectil doué d'une certaine
vitesse et d'un certain poids, et qu'il libère par conséquent
en s'immobilisant brutalement une certaine énergie proportionnelle
à l'énergie cinétique développée, deux
idées directrices ont permis la mise au point de la technique des Ukémis
:
- Il faut éliminer le heurt brutal à la reception. Le contact
doit donc s'établir avec un corps arrondi le plus possible, sans saillie
osseuse (coude, poignet, cheville, tête) au niveau de l'omoplate pour
l'essentiel. La position des divers segments du corps à l'arrivée
est donc fondamentale.
- Il faut également traiter l'onde de choc qui, selon le principe de
l'action-réaction, sera renvoyée par le tatami lors du contact
et qui, absorbée par le corps, peut occasionner diverses commotions.
Cet ébranlement dangereux est annulé :
- Si l'on frappe violemment et sèchement le sol avec
un ou deux bras écartés du corps d'environ 35 degrés
maximum. On frappe du plat de la main, doigts réunis, dans le prolongement
du bras, mais sans maintenir le contact de cette main au sol. C'est une façon
de renvoyer l'onde de choc.
- Si en dehors de cette action précise et brève
de l'un ou des deux bras le corps reste totalement décontracté
(toutes les articulations, souples, jouent le rôle d'amortisseurs).
- Si la surface de reception du corps au sol est la plus
grande possible (en général un triangle formé par la
main, l'omoplate et le bas du dos).
- Si les pieds sont placés l'un en position décontracté
(tourné vers le ciel) et l'autre posé au sol légèrement
fléchi (tourné vers la terre)
Il existe 3 types de chute :
Mae Ukemi (chute
avant) |
Mae Ukemi 2 (chute
avant) |
Yoko Ukemi (chute latérale) |
Ushiro Ukemi (chute arrières) |
Il existe quatres manières pour faire face
à une attaque :
- se sauver ou esquiver
(agir pendant l'attaque, difficulté 3), accommodation
- interposer quelque chose ou bloquer
(agir après l'attaque, difficulté 1), accommodation
- détourner en accentuant la force ou parer (agir pendant et après
l'attaque, difficulté 2), accommodation
- attaquer (sen no sen) (agir avant l'attaque), assimilation
Il existe cinq types de défense debout réparti
sur trois groupes de défense :
- 3 types de blocages c'est
à dire arrêter l'attaque : (agir après l'attaque,
difficulté 1), accommodation
a) les jigotai
: postures défensives qui consistent à baisser le centre de
gravité et élargir la base de sustentation afin de permettre
une plus grande stabilité :
(les jambes écatées, les jambes pliées et le buste droit)
b) l'éloignement par la rupture du contacte
(go) par un décrochage de la saisie
avant ou pendant l'exécution de la technique ou par la mise en avant
d'une hanche
c) l'arrêt de la bascule par le(s) mains ou le(s) pieds
par un crochetage (yawara)
-
le pied de Tori opposé au sens de la projection sur le pied opposé
au sens de la projection de Uke :
-
par l'intérieur pour Uchi
Mata
-
par l'extérieur pour Seoi
Nage
-
le pied de Tori opposé au sens de la projection sur le pied identique
au sens de la projection de Uke par l'extérieur pour des technique
de hanche
- la parade c'est à dire détourner l'attaque
: briser la force (chowa) en se déplaçant dans
le sens opposée à la force (agir pendant et après l'attaque,
difficulté 2), accommodation
- l'esquive c'est
à dire éviter l'attaque (agir pendant l'attaque, difficulté
3), accommodation
Le terme Bogyo no waza comprend trois façons différentes de contrôler une technique avec laquelle vous êtes attaqué. Ces trois modalités renferment trois philosophies face à une attaque : Le principe de Go arrête l'action de déséquilibre, NAMI CHOWA esquive l'action dans la direction du déséquilibre, GYAKU CHOWA esquive l'action dans la direction opposée au déséquilibre et YAWARA la suit dans la même direction.
Esquive en cercle dans le sens d'une l'attaque avant | Esquive en cercle dans le sens opposé de l'attaque | Esquive en cercle d'une attaque arrière |
Le principe de non-résistance : accommodation
puis assimilation
Le principe de la non-résistance consiste à utiliser l’action
de l’autre dirigé contre soi (Ai-Ki : union de l'énergie)
pour finir par le maîtriser. Celui qui reçoit l'action, esquive,
détourne (parade) et canalise le mouvement de façon à
le retourner contre l’autre au lieu d’essayer de le bloquer. Si
l’autre pousse, il suffit d’esquiver ou de le tirer pour qu’il
tombe de lui-même. S’il tire, il n’y a qu’à
le pousser. Plus l’action est puissante plus grande est l'efficacité
de celui qui reçoit. Le principe de non-résistance conduit l’autre
à subir sa propre action.
Les kaeshi-wazas :
Lorsque tori est le défenseur, le contre est l'accommodation à
savoir l'ajustement (cession) d’un individu grâce à sa
capacité d’apprentissage
(de compréhension) (tora
no maki). Lorsque tori est l'attaquant, le contre est l'assimilation à
savoir l'ajustement de la situation grâce à sa capacité
d'application des connaissances
(ryu no maki) de l'individu.
Bien sûr, ces deux approches s’influencent l’une l’autre
dans le sens où tout apprentissage
amène un accroissement des connaissances
et que toute application des connaissances
nécessite un apprentissage
(une compréhension) de la situation. Tous les katas
sont des séries de contre.
Il faut différencier deux notions à savoir :
- la contre-attaque : Go no sen : accommodation puis
assimilation
- la contre-prise : Sen no sen : assimilation
La notion de vigilance, le zanshin que l'on retrouve dans tous les arts martiaux japonais s'appuie aussi sur le concept de ki. À travers le ki, on peut "sentir" l'intention de l'adversaire, ce qui permet de riposter plus efficacement, voire d'agir avant que l'adversaire ait pu lui-même agir. On utilise le terme sen pour désigner cette action simultanée (sensen no sen : attaque anticipant l'action adverse ; go no sen : riposte anticipant l'action ; sen no sen : attaque simultanée).
Le go no sen et le sen no sen sont deux tactiques plus particulièrement développées par le kendô.
Go no sen : accommodation puis assimilation, la contre-attaque
(hangeki)
Souvent traduit par "contre-attaque", il s'agit en fait d'attaque
immédiatement après l'attaque du partenaire en enchaînement.
Lorsque une défense précède la contre-offensive alors
on ne parle pas de contre-prise mais de contre-attaque en l’occurrence
de contre.
C'est l'attaque de Tori si suit soit :
- un kawashi-waza à savoir une esquive
(évitement de l'attaque) ou une parade (détournement de l'attaque)
- un blocage (arrêt de l'attaque)
de Tori après une attaque d'Uke
- un retour d'attaque d'Uke
Dans le dictionnaire Le Petit Larousse - édition 2000, contre-attaquer,
est défini comme tel : « passer de la défensive à
l’offensive ».
En sport d’opposition, une contre-attaque est une action offensive effectuée
après l’attaque adverse. C’est donc une reprise de l’initiative
par « celui qui a été attaqué » (ou «
défenseur »). D’un point de vue tactique,
l’action contre-offensive peut tenir compte de l’état de
l’assaillant (appelé « action de profit »). Elle
peut profiter de sa vulnérabilité provisoire, c’est-à-dire
:
- de l’état d’épuisement dû aux efforts
offensifs et défensifs, de l’amoindrissement des capacités
physiques (fatigue (hirou) ou blessure)
dû aux chocs ou à la pression psychologique
- de la désorganisation corporelle et mentale ponctuelle (Par
exemple : utiliser un déséquilibre ou un relâchement post-attaque,
exploiter une inattention passagère ou une « défense-protection
» non assurée)
- de l’inefficacité passagère (Par exemple : tenir
compte d’une difficulté ponctuelle à organiser le jeu
d’attaque et de défense).
le contre-attaquant peut manœuvrer (manipuler
: seigyo) son protagoniste
par un jeu de tromperies qui va lui permettre de placer des contre-offensives
efficaces.
Bien que tous les autres Nage-Wazas
peuvent s'effectuer en attaque directe, voici la liste des Nage-Wazas
généralement effectuées en contre-attaque :
- Te Guruma
- Ura Nage
- Tani Otoshi
Les contres-attaques sont autorisés quelque soit la catégorie d'âge. En revanche, les Sutémis (Ma Sutemi, Yoko Sutemi et Makikomi) ne sont autorisées qu'à partir de la catégorie Minime.
Sen no sen : assimilation, la contre-prise
Souvent traduit par "l'attaque dans l'attaque", il
s'agit en fait d'anticiper avant l'action du partenaire.
La contre-prise est une séquence tactique
dans laquelle celui qui fait la dernière action la réalise à
partir d'une action déjà engagée par l'autre.
Cette tactique consiste
à attaquer entre le moment où l'adversaire à décider
d'attaquer et le moment où il attaque réellement. L'attaque
peut donc s'effectuer avant même que l'adversaire n'ait bougé
(sensen non sen) ou pendant le début de son attaque (sen no sen). Le
sen no sen nécessite une perception conciente ou inconsciente très
affinée de la tactique
d'attaque de l’adversaire (yomi) afin d'anticiper son mouvement. Sen
no sen peut d'ailleurs s'effectuer sans l’avoir décidé
consciemment.
Il existe onze Nage-Wazas
exclusivement destinés aux contres-prise :
- Uchi Mata Sukashi
(Uchi Mata dans le vide)
- Uchi mata Gaeshi
- Utsuri Goshi
- Ushiro Goshi
- Tsubame Gaeshi
- O
Uchi Gaeshi
- O
Soto Gaeshi
- Ko Uchi Gaeshi
forme 1
- Ko Uchi Gaeshi
forme 2
- Hane
Goshi Gaeshi
- Harai Goshi
Gaeshi
Bien que dans certaines compétitions amicales le règlement mis en place mette en avant le contraire, les contres-prises sont autorisées quelque soit la catégorie d'âge. En revanche, les Sutémis (Ma Sutemi, Yoko Sutemi et Makikomi) ne sont autorisés qu'à partir de la catégorie Minime.
Percevoir/réagir à l'action de l’adversaire
:
Elle se déroule en deux stades :
- La perception : pendant ce stade, le jùdôka recueille un maximum d’information
sur son adversaire et lui-même.
- La décision qui consiste à sélectionner une réponse
au problème posé précédemment, en fonction du
registre technique acquis à l’entraînement.
Chez le débutant, chaque stade est un élément
ralentisseur de l’acte moteur :
- La perception est lente, incomplète et intervient relativement tard.
- La décision est hésitante.
Chez le jùdôka confirmé, expérimenté et
bien entraîné :
- La perception est plus rapide, plus complète et intervient plus tôt.
- La décision est généralement automatisée, donc
plus courte.
En fait, l'expérience permet un gain de rapidité par le déclenchement de l’action au bon moment due à l’amélioration des deux premiers stades.
Conseils :
Ne sous-estimez jamais l'attaque de votre adversaire, elles doivent toutes
être prises au sérieux et avec vigilence. Ne sous-estimez pas
non-plus l'efficacité de vos propres attaques, souvent on abandonne
juste avant le degré d'investissement suffisant.
Il existe deux types de défense par anticipation
au sol :
Lorsqu'on est renversé on se retrouve souvent couché sur le
côté.
- la position passive : sur le ventre
- Shiho
Gatame (avec ou sans saisie)
- sur le ventre
- Tori se place à quatre pattes ou sur le ventre et saisie les genous
d'uke ou verrouille son propre revers et rapproche les genous des coudes (les
trous de souris, l'escargot)
- la position active : mise entre les jambes (en faisant
face à l'adversaire avec les épaules relevées), sur le
dos
- d'une jambe
- des deux jambes
- du tronc
- Tori place uke entre les jambes et s'agrippe à lui avec les bras
et les jambes (la toupie, le chat, la
pieuvre)
Il existe 2 manières de sortir d'un Osae
Komi Waza :
- les renversements et les dégagements
- les verrouillages
Les renversements et les dégagements :
De manière générale, un retournement ou un dégagement
s'effectue toujours vers l'endroit où l'adversaire place le plus de
poids.
Cela se traduit dans les Shiho
Gatame par un contrôle poitrine/poitrine et dans les Gesa
gatame par un contrôle côtes/poitrine.
Si l'adversaire est placé exactement sur l'articulation sterno-claviculaire
il faut faire en sorte que l'adversaire n'y soit plus soit :
- en se rapprochant ou s'éloignant de lui ou en tournant sous lui
- en rapprochant ou éloignant l'adversaire ou en le tournant sur lui-même
- en utilisant le principe d'action/réaction
Demander les trois façons de passer de la position
couché sur le dos à une autres position intermédiaire
afin de se relever :
- s'asseoir puis se relever
- rouler sur le ventre puis se relever
- rouler en arrière puis se relever
Certains tentent de se relever en basculant directement en
avant sur les pieds en position debout mais :
- cette technique est très difficile à réaliser seul
- cette technique est impossible à réaliser avec un partenant
adversaire sur soi
- cette technique se rapproche de la technique qui consiste à s'asseoir
puis se relever
Cette recherche permet aux élèves de prendre conscience dès le départ des possible faiblesses de leur Osae Komi.
Il existe 13 manières de sortir d'une immobilisation
selon deux dimensions :
La dimension verticale : 9
- le passage par la
position assise en avant, en redressant le buste, 3
ciseaux
- sur la cuisse droite 1
- sur la cuisse gauche 2
- sur les fesses (en dégagement) 3
—› Demander aux élèves de se placer sur le dos, de plier une jambe puis de s'asseoir sur le côté opposé
- le
passage par la position en roulé arrière, pierre ou accroupi,
en s'enroulant en jetant les jambes en arrière après un pontage
: 6 pierres
- sur l'épaule droite en réception en pierre 4
- sur l'épaule gauche en réception en pierre
5
- sur l'épaule droite en réception en roulé arrière
10
- sur l'épaule gauche en réception en roulé arrière
11
- sur la tête :
-
en réception position groupé sur le dos (la pierre à
l'envers) 12
-
en réception en roulé arrière
13
—› Se placer sur le dos, plier une jambe puis de
s'asseoir sur le côté opposé
—› Par deux, se placer assis, face à face, l'un à
côté de l'autre, en position Gesa
gatame, en garde identiques, main sous l'épaule puis l'un s'avance
pour venir placer l'autre sur le dos. Ensuite, l'autre décale son bassin
vers l'extérieur et jambe pliée, il vient s'asseoir sur le côté
opposé pour venir placer l'autre sur le dos
Se placer assis, face à face, l'un à côté de l'autre, en position Gesa gatame, en garde identiques, main sous l'épaule puis l'un s'avance pour venir placer l'autre sur le dos | ||
l'autre décale son bassin vers l'extérieur et jambe pliée, il vient s'asseoir sur le côté opposé pour venir placer l'autre sur le dos | l'autre décale son bassin vers l'extérieur et jambe pliée, il vient s'asseoir sur le côté opposé pour venir placer l'autre sur le dos |
La dimension horizontale : 4
- le passage
par la position sur
le ventre en roulant sur le côté droit : 2
feuilles
- en déplacement pour un renversement 6
- sur place pour un dégagement 8
- le passage
par la position sur
le ventre en roulant sur le côté gauche (sur place
pour un dégagement contrairement au renversement) : 2
feuilles
- en déplacement pour un renversement 7
- sur place pour un dégagement 9
—› Demander aux élèves de se placer sur le dos, sur une ligne puis de se retourner sans quitter la ligne
En poussant avec le pied du
côté opposé : Les retournements |
En se balançant : les dégagements |
|||||||
À droite |
À gauche |
À droite |
À gauche |
|||||
Bascule avant |
1 |
Gesa
gatame droit après un décallage à gauche |
2 |
Gesa
gatame gauche après un décallage à droite |
3 |
Balancer les jambes en avant (la balançoire avant ou le pyjama) |
||
Bascule arrière |
4 |
Ponter sur l'épaule droite en poussant avec le pied
gauche (ponter à droite) |
5 |
Ponter sur l'épaule gauche en poussant avec le pied droit (ponter à gauche) |
10 |
Balancer les jambes en arrière à droite de
la tête (la balançoire arrière droite) |
11 |
Balancer les jambes en arrière à gauche de
la tête (la balançoire arrière gauche) |
Le dos doit d'abord se courber en arrière pour ponter puis se courber en avant pour la balançoire arrière. | ||||||||
12 |
sur la tête : en réception position groupé sur le dos (la pierre à l'envers) | 13 |
sur la tête : en réception en roulé arrière | |||||
Bascule latérale |
6 |
Se tourner sur la droite en poussant avec le pied gauche (retournement avec décallage : rouli-roula) |
7 |
Se tourner sur la gauche en poussant avec le pied droit (retournement avec décallage : rouli-roula) |
8 |
Se tourner sur la droite en posant la main gauche par terre et en effaçant
l'épaule droite* (retournement sans décallage : le savon) |
9 |
Se tourner sur la gauche en posant la main droite par terre et en effaçant
l'épaule gauche* (retournement sans décallage : le savon) |
* Pour dégager le bras, passer la main sous la proitrine de l'adversaire (comme si le bras était un serpent où une taupe).
Il existe toujours au moins deux gaeshi parmi les 11 possibles.
Les verrouillages :
- de jambe d'uke (Tori sur le dos)
Shuto Uke : blocage du sabre de main |
Nagashi Uke : défense balayée ou coulée |
Uchi Ude Uke : Blocage avec l’avant-bras de l’intérieur vers l’extérieur, paume de main vers soi, et de niveau |
Gedan Juji Uke : blocage bas des poignets croisés |
Sukui Uke : défense en cuillère |
Osae Uke : blocage poussé |
Age Uke : Blocage haut en remontant, avant bras à 45°, paume de main vers l’avant |
Sokumen Awase Uke : défense combinée latérale, blocage haut combinant un haishu uke de la main avant et un teisho uke de la main arrière |
Gedan Barai : Blocage bas avec l’avant-bras, de l’intérieur vers l’extérieur |
Teisho Uke : Blocage de la paume de la main, de niveau |
Haishu Uke : Blocage effectué du dos de la main ouverte |
Soto Ude Uke : Blocage avec l’avant-bras de l’extérieur vers l’intérieur, paume de main vers soi |
Morote Uke : Blocage à deux mains |
Jodan Juji Uke : défenses haute en croix |
Mikazuki Geri Uke : |
Uke Uke : |