Les tactiques d'attaque |
Ghi comprend les techniques au sens restreint, les tactiques et les stratégies.
Du grec ancien tactikos « relatif à l’arrangement, à l’organisation »
Les tactiques se réalisent sans temps de réflexion et font donc partie du Tora no Maki (le rouleau du tigre : écrit officiel d’un art ou d’un système, faisant référence).
Le seigyo est le fait de contrôler les sentiments et le comportement de quelqu'un et de le manœuvrer à sa guise. Dominer et réguler, avoir de l'emprise sur l'autre.
La prise de contrôle :
Physique : Déplacer Uke comme Tori a décidé
pour prévoir la justesse de son placement.
Tactique : Amener Uke à se déplacer
comme Tori a décidé pour prévoir la justesse de son
placement.
Technique : Adapter directement la justesse du placement
de Tori pour contrer Uke.
Les bases de toutes tactiques :
Ne sous-estimez jamais l'attaque de votre adversaire, elles doivent toutes
être prises au sérieux et avec vigilence. Ne sous-estimez pas
non-plus l'efficacité de vos propres attaques, souvent on abandonne
juste avant le degré d'investissement suffisant.
Connaître toutes les qualités de ces attaques et tous les défault de ses défenses est le meilleurs moyen de gagner un maximum de combat.
Le combat peut être assimilé à une activité
de résolution de problème.
Pour battre son adversaire, le jùdôka
a deux possibilités :
- soit il doit convoquer un savoir technico-tactique qu’il adapte en
fonction des caractéristiques spécifiques de son adversaire
.(Hazumi : adaptation aux mouvements ou la force de l'adversaire pour "glisser"
sa technique (accomodation)
- soit il impose une technique
à son adversaire.(Ikioi : imposer sa technique par
sa propre force (assimilation)
subdivisé en : imposer sa technique par la force à
contre courant de la position de force de l'adversaire
imposer
sa technique par la force en considérant les points faibles de la position
de l'adversaire)
La meilleure défense est encore l'attaque
:
On peut également avoir comme adversaire un jùdôka
très fort en attaque. La solution consite à l'attaquer à
outrance pour ne pas le laisser attaquer et éventuellement parvenir
à le projeter.
Enfin, bon nombre de jùdôkas
sont très forts sur une seule technique
et très en confiance
dans une situation donnée tel qu'une prise de kumikata
particulière qu'il utilise pratiquement exclusivement et sont totalement
désemparer sans cette situation de base. La statégie consite
donc à fixer au moins la moitié de son attention pour l'empêcher
de retrouver cette situation de base.
Gérer la différence de poids :
Si l'adversaire est plus lourd : empêcher l'adversaire d'attaquer
Positionnement : rester toujours
de biais
Mobilité : en mouvement
Manipulation
: ne pas déplacer l'autre
Priorité : se concentrer
sur la neutralisation du point fort
Attaque : attaquer plus que
l'autre avec des techniques de jambe
ou de sutemi.
Défense : ne pas se
laissez attraper
Si l'adversaire est plus léger :
Positionnement : rester de
face
Mobilité : fixe
Manipulation
: déplacer l'autre
Priorité : fixer l'adversaire
Attaque : lancer que des attaques
décisives.
Défense : saisir l'autre
des deux mains
Gérer la différence de taille :
Si l'adversaire est plus grand :
Point fort : Capacité
importante pour passer sous l'adversaire (dimension verticale), utiliser les
mouvements de bras
Point faible : Allonge réduite
(dimension horizontale), ne pas utiliser les mouvements de jambe
Si l'adversaire est plus petit :
Point fort : Allonge
important (dimension horizontale), utiliser les mouvements de jambe
Point faible : Capacité
réduite pour passer sous l'adversaire (dimension verticale), ne pas
utiliser les mouvements de bras
Gérer la différence de latéralité
de la garde :
Un droitier est souvent plus mal à l'aise sur un gaucher que le contraire
du fait que qu'en France culturellement, il y a plus de droiter que de gaucher.
Vous avez donc deux possibilités pour être à l'aise :
- soit convoquer un savoir technico-tactique adapter en fonction des caractéristiques
spécifiques de son adversaire (accomodation).
- soit imposer une technique
à son adversaire (assimilation) en
empêchant l'adversaire de saisir son kumi
kata et en imposant le sien
Connaître l'autre aussi bien que soi-même
:
"Celui qui ne se connait pas et qui ne connait pas son
ennemi perdra toutes ses batailles. Celui qui connait son enemi mais ne se
connait pas lui-même devra accepter que pour chaque victoires remportés,
il devra irrémédiablement en perdre une. Celui qui se connait
et qui connait son ennemi remportera jusqu'à 100 batailles sans perdre
une seule fois."
- Sun Tsu. Auteur de "L'Art de la Guerre" écrit 2500
ans avant aujourd'hui.
Un bon combattant est celui qui a pris conscience de ces faiblesses (Platon)
et de ses points forts et qui se sert de cette connaissance
sur lui-même pour ne pas être pris en défaut et pour progresser
à l'entraînement. Un bon compétiteur est celui qui connait
les faiblesses et les points forts de ces adversaires et qui se sert de cette
connaissance
pour ne pas être pris en défaut en compétition et pour
orienter son entraînement. L'important c'est de se
donner à fond jusqu'au bout c'est à dire essayer,
de ne jamais perdre espoir et en toutes circonstances, de faire
de son mieux (ganbaru) pour ne pas avoir de regret, avoir foi en ce que
l'on fait et rechercher inlassablement à s'améliorer
(kaizen).
Utilisation de cette connaissance
:
Mes points forts : je dois les imposer sur ses points faibles
en compétition mais jamais à l'entraînement
Mes
points faibles : je ne dois jamais les exposer en compétition
mais toujours à l'entraînement
Ses points forts : je dois les affaiblir en compétition
en m'exerçant à l'entraînement ("la force faiblit
dès que l'armure connait sa première faille (suki))"
Ses points
faibles : je dois les mettre à jour et y diriger mes points
forts en compétition en m'exerçant à l'entraînement
Imposer des points forts signifie toujours exposer des points
faibles. Une attaque engendre toujours une ouverture dans sa propre défense.
Il s'agit donc d'affaiblir ses points forts, mettre à jour ses points
faibles pour imposer mes points forts sans pour autant trop exposer mes
points
faibles et pas de s'opposer aux points forts de l'autre.
La perception de l'adversaire (kikai) :
- zanshin : esprit en éveil
du monde environnant
- kufu : esprit en éveil de l'adversaire
- yomi : esprit à l'écoute du corps de l'adversaire
- genshin : esprit à l'écoute des intentions de l'adversaire
- sen no sakki : esprit à l'écoute de l'esprit de l'adversaire
Le principe de non-résistance
: l'union de l'énergie (ai ki ha)
Le principe de la non-résistance consiste à utiliser l’action
de l’autre dirigé contre soi pour finir par le maîtriser.
Celui qui reçoit l'action, esquive, détourne
(parade) et canalise le mouvement
de façon à le retourner contre l’autre au lieu d’essayer
de le bloquer. Si l’autre pousse, il suffit d’esquiver ou de le
tirer pour qu’il tombe de lui-même. S’il tire, il n’y
a qu’à le pousser (hando no kuzushi). Plus l’action est
puissante plus grande est l'efficacité de celui qui reçoit.
Le principe de non-résistance conduit l’autre à subir
sa propre action.
Sen :
C'est lorsqu'on prend l'initiative
de l'attaque.
Il existe plusieurs tactiques applicables :
Jibun no tsukuri :
préparation de Tori ; le placement de Tori.
- L'attaque directe
ou dite franche consiste a attaquer une fois l'adversaire avec l'intention
de faire tomber.
Cette attaque s'effectuer soit :
- après la prise
le kumikata
- pendant la prise du
kumikata c'est à dire à
la volée
Aite no tsukuri :
préparation de Uke ; mettre Uke dans une position pour pouvoir
l'attaquer.
- L'attaque en confusion
(damashi) ou feinte (misekake) ou demandant le sens
de la feinte (sorashi) est une simulation d'attaque ayant pour but de créer
une réaction chez l'adversaire et permettant d'exécuter une
technique initialement
prévue. C'est ce qu'on appelle souvent action/réaction
(avant/avant, avant/arrière, arrière/arrière, arrière/avant,
gauche/droite, droite/gauche, droite/droite, gauche/gauche). En jùdô,
debana est l'opportunité d'attaque anticipant l'intention d'attaque
du partenaire. Dans ce cas, cette opportunité est provoquée
par l'attaque en confusion.
Cette tactique vous permet d'avoir un temps d'avance : toki (temps) tobashi
(envolé).
- L'opportunité
(debana) est une occasion favorable (offerte ou créer) à l'application
d'une technique. Elle
s'organise à partir de composantes comme l'action de kumi
kata, un déplacement, un changements de postures ou d'une attaque.
Lorsqu'elle est offerte c'est un enchaînement ou une vulnérabilité
provisoire de Uke. Lorsqu'elle est créé c'est une confusion.
- L'enchaînement
(renzoku-waza) consiste à attaquer l'adversaire qui réagit et
d'effectuer une attaque en fonction de cette réaction. Contrairement
à la confusion, la réaction de l'adversaire n'est qu'une éventualité,
elle n'est pas provoqué.
- L'attaque répétées
est un type d'enchaînement qui consiste a attaquer plusieurs fois l'adversaire
avec l'intention de faire tomber à chaque fois.
Un redoublement d'attaque est une attaque répétée de
la même technique.
- La combinaison
(awase-waza ) : ancien terme pour désigner un enchaînement.
Les confusions et les enchaînements sont utilisés
soit :
- en commençant par une technique
quelconque puis en utilisant un Tokui-Waza.
- en commençant par un Tokui Waza et en terminant sur une autre technique.
Tokui-Waza désigne une des techniques préférées de Tori souvent appelées aussi les "spéciales".
Attention !
- "L’épée que l’on aiguise
sans cesse ne peut conserver longtemps son tranchant."
Lao Tseu
Ne travaillez pas trop souvent votre Tokui-Waza
Il existe trois manières pour faire
face à une attaque :
- s'enfuire ou esquiver (nogareru)
- interposer quelque chose ou bloquer
- attaquer (sen no sen)
Esquiver dans un combat est le plus difficile. En effet, pour
cela, il faut être capable d'anticiper ou d'être plus rapide que
son adversaire.
Bloquer est plus facile que d'esquiver mais demande de pouvoir encaisser les
attaques de l'adversaire.
Attaquer est la meilleurs défense car elle ne demande ni d'anticiper,
ni d'être plus rapide ni de pouvoir encaisser les attaques de l'adversaire.
Ainsi, plus le combat est difficile et plus il faut attaquer avant votre adversaire.
Le ki reliant les êtres, il relie également les deux adversaires.
La notion de vigilance, le zanshin que l'on retrouve dans tous les arts martiaux japonais s'appuie aussi sur le concept de ki. À travers le ki, on peut "sentir" l'intention de l'adversaire, ce qui permet de riposter plus efficacement, voire d'agir avant que l'adversaire ait pu lui-même agir. On utilise le terme sen pour désigner cette action simultanée (sensen no sen : attaque anticipant l'action adverse ; go no sen : riposte, anticipant l'action ; sen no sen : attaque simultanée).
Si la capitulation n'est pas une tactique traitée ici c'est qu'il s'agit plus d'une stratégie. La fausse capitulation (tactique) qui consiste à faire semblant de capituler n'est valable qu'en cas de bagarre ou d'agression et n'est pas digne d'un combat. |
Go
no sen :
C'est l'attaque de Tori qui suit soit :
- un kawashi-waza à savoir une esquive
(évitement de l'attaque) ou une parade (détournement
de l'attaque)
- un blocage (arrêt de l'attaque)
de Tori après une attaque d'Uke
- un retour d'attaque d'Uke
Il existe 6 possibilités :
- En utilisant l'attaque de l'adversaire (hazumi,
jù no ri)
- En utilisant la faiblesse du début de l'attaque (go no sen)
- En utilisant la faiblesse de l'attaque qui échoue (go no sen)
- En contrôlant la technique de l'adversaire (katame-waza)
- En utilisant son énergie en surpassant (kawashi-waza)
- En contre-attaquant lorsqu'il attaque (sen no sen)
Dans le dictionnaire Le Petit Larousse - édition 2000,
contre-attaquer, est défini comme tel : « passer de la défensive
à l’offensive ».
En sport d’opposition, une contre-attaque est une action offensive effectuée
après l’attaque adverse. C’est donc une reprise de l’initiative
par « celui qui a été attaqué » (ou «
défenseur »). D’un point de vue tactique,
l’action contre-offensive peut tenir compte de l’état de
l’assaillant (appelé « action de profit »). Elle
peut profiter de sa vulnérabilité provisoire, c’est-à-dire
:
- de l’état d’épuisement dû aux efforts
offensifs et défensifs, de l’amoindrissement des capacités
physiques (fatigue (hirou) ou blessure)
dû aux chocs ou à la pression psychologique
- de la désorganisation corporelle et mentale ponctuelle (Par
exemple : utiliser un déséquilibre ou un relâchement post-attaque,
exploiter une inattention passagère ou une « défense-protection
» non assurée)
- de l’inefficacité passagère (Par exemple : tenir
compte d’une difficulté ponctuelle à organiser le jeu
d’attaque et de défense).
le contre-attaquant peut manœuvrer (manipuler
: seigyo) son protagoniste
par un jeu de tromperies qui va lui permettre de placer des contre-offensives
efficaces.
Les contres sont autorisés quelque soit la catégorie d'âge. En revanche, les Sutémis (Ma Sutemi, Yoko Sutemi et Makikomi) ne sont autorisés qu'à partir de la catégorie Minime.
Comment réagir face à
un adversaire identifié plus endurant,
résistant, puissant,
grand, lourd, enthousiaste, la persévérant,
déterminé,
technicien, tacticien
et stratégique
?
Tout d'abord, dans le cadre sportif, prenez cette rencontre comme une chance
pour vous.
Identifié supérieur |
Identifié inférieur |
|
Gagnant | Performence |
Normal |
Perdant | Normal |
Contreperformence |
Ensuite, il existe une tactique possible : le Sen no sen
Sen
no sen :
Cette tactique
consiste à attaquer entre le moment où l'adversaire à
décider d'attaquer et le moment où il attaque réellement.
L'attaque peut donc s'effectuer avant même que l'adversaire n'ait bougé
(sensen no sen) ou pendant le début de son attaque (sen no sen). Le
sen no sen nécessite une perception conciente
ou inconsciente très affinée de la tactique d'attaque de
l’adversaire (yomi) afin d'anticiper son mouvement. Sen no sen peut
d'ailleurs s'effectuer sans l’avoir décidé consciemment.
En kendô (la voie du sabre), il y a un coup appelé Debana-Waza : il
s’agit d’attaquer avant que l’adversaire ne le fasse, de
frapper avant qu’il ne frappe.
En jùdô, Debana est l'opportunité
d'attaque anticipant l'intention d'attaque du partenaire.
Percevoir/réagir à l'action de l’adversaire
:
Elle se déroule en deux stades :
- La perception : pendant ce stade, le jùdôka
recueille un maximum d’information sur son adversaire et lui-même.
- La décision qui consiste à sélectionner une réponse
au problème posé précédemment, en fonction du
registre technique acquis
à l’entraînement.
Chez le débutant, chaque stade est un élément
ralentisseur de l’acte moteur :
- La perception est lente, incomplète et intervient relativement tard.
- La décision est hésitante.
Chez le jùdôka
confirmé, expérimenté et bien entraîné :
- La perception est plus rapide, plus complète et intervient plus tôt.
- La décision est généralement automatisée, donc
plus courte.
L'expérience permet un gain de rapidité par le déclenchement de l’action au bon moment due à l’amélioration des deux premiers stades.
La prise de décision :
Il faut trouver un équiibre entre l'analyse de la situation (jukuryo)
puis agir sans attendre (danko)
L'idéal est d'atteindre le mi (corps) katte
(par lui-même)
Migatte : la sublimation
de l'automatisation ou du
conditionnement opérant,
le lachez prise du corps (karada
no oboe : la mémoire du corps)
L'exécutant ne se concentre plus alors sur la technique mais sur l'intensité
de son érnergie (ki).
On rentre dans un état mental appelé Muga-mushin.
Cet état ne s'atteint toutefois qu'au terme d'une longue expérience.
Muga-mushin signifie "pas de moi,
pas de pensée". C'est un état d'indifférence qui
libère de la conscience des actions accomplies. Dans cet état,
l'esprit résout les problèmes de façon pour ainsi dire
automatique. Il correspond
à ce que le bouddhisme appelle un état de viduité. On
y est libéré de toutes les pensées et de tous les sentiments
qui entrave les l'exercices de n'importe quelle technique et l'on y revient
à son "âme originelle" délivrée de ses
servitudes corporelles. On ne voit plus l'adversaire mais on se confond avec
lui en mouvement et en pensée. On sait inconsciemment quand et comment
agir de manière naturelle.
Acquérir de la puissance :
La puissance dépend de trois facteurs :
- l'explosivité mental possible grâce à la concentration
(shin)
- la technique (ghi)
- l'explosivité musculaire (tai)
I. Prestation technique libre de jùdô en vue de l’examen final du B.E.E.S.
IA- Tachi
Waza - Ippon
Seoi Nage :
IA1 – Démonstration fondamentale :
Tori fait tomber Uke en Ippon
Seoi Nage à droite
Tori fait tomber Uke en Ippon
Seoi Nage à gauche
IA2 – Changement de Kumi
Kata :
Lui saisissant le revers droit de la main gauche, Tori fait tomber Uke en
Ippon Seoi Nage
à droite
Tori fait tomber Uke en Ippon
Seoi Nage à droite en lui saisissant la manche droite de la main
droite
IA3 – Changement de forme :
Tori fait tomber Uke en forme Makikomi
IA4 – Uchi Komi :
Séquence de 9 répétitions en accélérée
puis Nage à la 10e
IA5 – Les déplacements/Nage komi :
Tori fait tomber Uke en Ippon
Seoi Nage sur son avancé
Tori fait tomber Uke en Ippon
Seoi Nage sur son recule
—› sans rester en ligne
IA6 – Les défenses :
Les blocages :
Uke attaque Ippon
Seoi Nage à droite/Tori défend en Jigotai
Les esquives :
Uke attaque Ippon
Seoi Nage à droite/Tori esquive en Tai Sabaki à droite
Uke attaque Ippon
Seoi Nage à droite/Tori esquive en Tai Sabaki à gauche
IA7 – Les séquences d’attaque
:
IA7a) Les enchaînements
:
Tori attaque en Ippon
Seoi Nage à droite/Uke bloque en Jigotai/Tori
fait tomber en Seoi
otoshi (avant/avant)
Tori attaque en Ippon
Seoi Nage à droite/Uke bloque en Jigotai
/ Tori fait tomber en Ko
Uchi Makikomi (avant/arrière)
Tori attaque en Ippon
Seoi Nage à droite /Uke esquive à droite/ Tori fait tomber
en Ippon Seoi Nage
à droite (avant/avant ; redoublement d’attaque)
Tori attaque en Ippon
Seoi Nage à droite /Uke esquive à gauche/Tori fait tomber
en Kata Guruma
à gauche (avant/avant)
IA7b) Les opportunités
:
Uke avance le bras droit tendu pour saisir Tori dans le dos/Tori fait tomber
en Ippon Seoi Nage
à droite à la volée
Tori fait lâcher le Kumi Kata
d’Uke puis attaque Ippon
Seoi Nage en avançant
Tori déplace Uke en cercle forme Uchi
Mata du Nage no Kata
puis fait tomber en Ippon
Seoi Nage à droite
Tori fait reculer le pied droit en forme de Ko
Uchi Gari puis attaque Ippon
Seoi Nage à droite
IA7c) Les confusions :
Tori feint d’attaquer en Ippon
Seoi Nage à droite/Uke déporte son poids en arrière/Tori
revient en Ko
Uchi Makikomi à droite (avant/arrière)
Tori feint d’attaquer à gauche avec le Kumi
Kata main gauche au revers droit/ Uke réagit en déportant
son poids sur la droit/ Tori fait tomber en Ippon
Seoi Nage à droite (droite/gauche)
IA8 - Les contres :
Uke attaque Ippon
Seoi Nage à droite /Tori bloque en Jigotai puis contre en Te
Guruma
Uke attaque Ippon
Seoi Nage à gauche/ Tori bloque en Jigotai /Uke ressort de son
attaque/ Tori fait tomber en Ippon
Seoi Nage à droite
IB- Ne-Waza - Ude
Hishigi Juji Gatame :
IB1 – Les enchaînements debout/sol
:
Séquence d’attaque
1 ; Uke attaque et Tori esquive : puis enchaîne :
Uke attaque Ippon
Seoi Nage à droite/Tori esquive en Tai Sabaki à droite /
Tori passe à cheval puis enchaîne en Kata
Hajime
Séquence d’attaque
2 ; Uke attaque et Tori tombe puis reprend l’initiative par anticipation
:
Uke attaque en Ippon
Seoi Nage à droite /Tori refait face à Uke qui se retrouve
entre ses jambes/Uke avance sur Tori/Tori contrôle le bras droit d’Uke
et pivote sur le côté droit pour ensuite enchaîner en Ude
Hishigi Juji Gatame
Séquence d’attaque
3 ; Tori attaque et Tori enchaîne sur Uke passif :
Tori fait tomber Uke en Ippon
Seoi Nage à droite, contrôle le bras droit d’Uke puis
enchaîne en Ude
Hishigi Juji Gatame
IB2 – Les contrôles au sol :
Séquence d’attaque
1 ; Tori attaque, Uke bloque et Tori enchaîne :
Uke se défend en position quadrupédique/Tori passe devant pour
placer son bras gauche, enchaîne en position tibia nuque puis en Ude
Hishigi Juji Gatame/Uke se défend en accrochant ses bras/Tori enchaîne
en contrôlant Uke puis repart en forme Gesa
Gatame/Uke se défend en repassant sur
le ventre/Tori enchaîne en position tibia nuque puis en Ude
Hishigi Juji Gatame/Uke se défense en accrochant ses bras/Tori
décroche les bras de Uke et termine en Ude
Hishigi Juji Gatame
Séquence d’attaque
2 ; Tori attaque, Uke anticipe, Tori enchaîne :
Uke se défend en position quadrupédique/Tori passe devant pour
placer son bras gauche et enchaîne en position tibia nuque/ Uke se défend
en se cambrant en arrière/Tori repart à l’envers puis
enchaîne en Ude
Hishigi Juji Gatame