Administrateur
|
Présenter son déroulement de la vie peut paraître
faire preuve de manque de modestie.
Cependant, le code moral du jùdôka
définie la modestie comme
ceci : "C'est de parler de soi-même sans orgueil.
Je parle de moi sans orgueil.
Je sais d'où je viens, ce
que j'ai fait, ce qu'il me reste à faire.
Ce n'est donc pas ne pas parler de soi ou ne pas parler de soi avec fierté.
Le mot "fierté"
est souvent confondu avec le mot "orgueil".
L'orgueil c'est aimer ce que l'on
est alors que la fierté c'est
aimé ce que l'on a fait. La fierté
est une forme de modestie non pas
affichée mais intériorisée dans la mesure où l'on
ne peut être fière que
de ce dont l'on n'était pas certains de réussir. Pour revenir
à la deuxième partie souvent méconnu de la définition
de la modestie (Je
sais d'où je viens, ce
que j'ai fait, ce qu'il me reste à faire) concernant le code
moral du jùdôka, elle nous invite à regarder en arrière
et à faire le point sur nos actes afin d'envisager l'avenir comme lors
du Kagami Biraki. (la cérémonie
des vœux).
"Plus loin on regarde vers le passé, plus loin
on voit vers l'avenir"
Winston Churchill
"Il n'y a de nouveau que ce qui est oublié"
Rose Bertin
Pourquoi faire un CV
(rireki) ?
Le savoir
et le savoir-faire n'existe pas sans le faire savoir. En effet, vous êtes
la seule personne à connaitre tous les grands moments de votre vie.
Si vous voulez que votre interlocuteur ait une image la plus proche possible
de vous, le plus efficient est de montrer votre CV.
Lire des CV détaillés peut servir de référence à des profiles similaires afin de réfléchir sur son développement de carrière.
Nos expériences accumulées CV
peuvent ainsi être présentées de manière à
former un capital solide cohérent
afin de faire fructifier notre potentiel pour en tirer parti par la suite.
Par exemple :
![]() |
|
— Je
pratique le Jùdô depuis 1987 : n° M21011978GLORI01 |
|
PARCOURS
PROFESSIONNEL EN ENSEIGNEMENT : Dans les dojos du Toulouse
Judo : 23 ans Développement annexes : Dans le projet
des écoles comme
intervenant extérieur agréé par l'inspection
académique de Toulouse chargé d'enseigner les jeux d'opposition
: 3 ans d'expérience Dans
le cadre de l'accompagnement éducatif
comme
intervenant extérieur agréé par l'inspection
académique de Toulouse chargé d'enseigner le jùdô
: 1 an d'expérience En CLAÉ
: Initiations
annuelles : Dans le club
de Quint-Fonsegrives : 13 ans d'ancienneté Dans
le club de Pibrac et Mondonville : 6 ans Suivis
en compétition : 35 clubs |
|
Développeur de sites internet : |
|
PARCOURS
PROFESSIONEL EN ANIMATION : — Titulaire du D.E.J.E.P.S. n° DE 031 11 0038 depuis le 20/04/2011, et du B.A.F.A.et du B.S.B. depuis 22 ans (2000), j'ai aussi une expérience de 19 ans en tant qu'animateur (1998-2012 puis de 2018 à aujourd'hui) et 6 ans de direction (2012-2018) les mercredis, vacances scolaires, colonies et camps de vacances : ALAÉ
: 14 ans Accueil
de Loisirs : 23 ans Accueil
à Caractère Collectif pour mineurs
: Colonies
et camps de vacances : 109 jours Surveillant de baignade
: 47 semaines |
|
AUTRES EXPÉRIENCES : |
|
FORMATIONS ACTUELLES : |
|
Mes
objectifs : - Être promu sur l'échelle de la Fonction Publique Territoriale catégorie C en Adjoint territorial d'animation 1re classe (actuellement 7e échelon (7e minimum exigé, 8e en 09/2023) et 9 ans d'ancienneté depuis le 01/01/2023 (stagiairisé le 01/01/2014). - Préparer l'évaluation du 5e dan. |
|
Vie associative : - 01 an licencié à Football Olympique Saint-Jean (de 1986 à 1987) - 07 ans licencié aux Arts Martiaux Saint-Jean (de 1987 à 1994 SO15311840) - 10 ans licencié au Stade Toulousain Jùdô (de 1994 à 2004 SO15310120) SIRET : 40496606100016 - 01 an membre au Judo Club d'Escalquens (de 2011 à 2012 SO15312090) - 18 ans licencié au Toulouse Jùdô (de 2004 à 2022 SO15313340) - Secrétaire de Mandala & Co. depuis 2010 |
Maître Shozo
Awazu (9e dan, assistant
de Maître Mikinosuke
Kawaishi, 10e dan, à
partir de 1950) et moi (1er
kyu, 16 ans...) au stage kata
de L'Union (Haute-Garonne) en février 1994.
|
|
Son autographe |
Le déroulement de la vie :
La notion de mensonge sur un CV en tant
que telle n’existe pas dans le code du travail. En revanche la loyauté
et la bonne foi, oui, et peuvent légitimer une procédure de
licenciement ou d'annulation du contrat de travail. Le législateur
juge que la faute n'est punissable que dans la mesure où le mensonge
a été déterminant pour l'embauche du candidat. Les informations
présentes sur le CV doivent être
de bonne foi (C.
trav., art. L1221-6). L'employeur est en droit de demander à vérifier
les diplômes du candidat et
de se renseigner auprès d'employeurs précédents sur la
réalité des informations précisées par le salarié.
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-candidature/cv/detail/article/je-risque-quoi-a-mentir-sur-mon-cv.html